Année 2015-20165 :
Une fois par trimestre, en partenariat avec la Médiathèque, nous organisons une
table ronde
autour d'un thème choisi.
Les lecteurs intéressés viennent présenter des livres en relation avec le thème
choisi ou
viennent simplement écouter les autres en présenter.
Elizabeth Thuriet (Association Littera05) mène les débats.
La 1ere rencontre
« Echappée Livres » du 21 Octobre à la médiathèque
Compte rendu de la rencontre par Zabeth
Nous étions 20. Bon début donc, l'horaire y est surement pour quelque chose.(12h15 13h30)
Rappel : un des buts de ces séances, outre le fait de faire se rencontrer des lecteurs est aussi d'encourager à lire plus de livres de la médiathèque écrits par des auteurs étrangers et que la médiathèque possède soit en français soit directement dans la langue d'origine. Dans ce compte rendu j'inscrirai BM en face des ouvrages présentés qui font partie du catalogue de la médiathèque.
Plusieurs livres lus en italien par les présentatrices
Elena Ferrante « L'amica geniale » edizioni E/O 2011
C'est le premier livre d'une quadrilogie (tant pis si ceci est un néologisme) seul ce volume est pour l'instant traduit en français (chez Gallimard sous le titre de « l'amie prodigieuse » en 2014) BM
Elena Ferrante est un pseudonyme et nul ne sait qui se cache derrière ce nom de plume.
Elle a déjà écrit plusieurs livres traduits en français, tous chez Gallimard.
Histoire de deux gamines dans un quartier pauvre de Naples dans les années 50. Elles rêvent de faire des études pour avoir un avenir meilleur. Elles parviennent à s'acheter un livre. Une très belle histoire d'amitié.
Marco Magini « Come fossi solo » paru en 2014 Giunti editore, et (pas encore?) traduit en français
Premier roman d'un jeune auteur italien (né en 1985), mais qui a déjà beaucoup bourlingué de par le monde. C'est une histoire à trois voix : celle de la tragédie de Sebrenica, racontée par trois narrateurs : Dirk, un soldat hollandais de l'Onu, Romeo un juge au tribunal international pour l'ex Yougoslavie et Drazen un serbo croate qui reconnaît avoir tué.
Un récit à trois voix, trois points de vue radicalement différents, d'une des grandes tragédies de notre époque
Nicolo Ammaniti « Anna » paru chez Enaudi en 2015
Ammaniti est un auteur connu et généralement traduit en français. Un de ses livres le plus célèbre est « je n'ai pas peur » BM qui a donné lieu aussi à un film
Ce livre ci est une fable apocalyptique qui se passe en 2020 dans une Sicile dévastée par un virus qui ne laisse vivants que des enfants . L'héroïne, Anna survit en s'occupant de son petit frère, grâce à un cahier que sa mère avait rédigé avec toutes sortes de recommandations au cas où ce cataclysme se produirait. Un roman très sombre et prenant . Une « utopie sans espérance »
Les autres livres présentés le sont dans leur édition française
Simonetta Greggio
Deux livres de cette écrivaine italienne vivant à Paris et écrivant en français sont présentés.
« Les mains nues » BM Stock 2009. Un jeune fugueur de 15 ans Gio arrive chez une vétérinaire qui s'est plus ou moins retirée du monde. L'arrivée de ce jeune va faire resurgir un passé qu'elle croyait disparu. Par évocations rapides on comprend qu'une liaison s'est installée entre cette femme et le jeune et qu'il va s'ensuivre un procès et un cycle de vengeance. Tout est évoqué, rien n'est poussé au bout
« Dolce vita 1959-1979 » BM Stock 2010
un portrait sans concession des dérives du pays entre années de plomb et années de boue , où l'auteur s'interroge sur les responsabilités collectives et individuelles à partir des confessions d'un vieil aristocrate qui raconte la période au fil de sa mémoire. Pose la question « quand avons-nous commencé à être aveugles et sourds ? »
et puis à la suite trois livres de Milena Agus une auteure née en 1959 et qui fait partie de la nouvelle vague littéraire sarde :
« La comtesse de ricotta » BM en 2009 en Italie et en 2012 en France chez Diana Levi. Traduit par Françoise Brun
L'histoire se passe à Cagliari autour de trois soeurs dont la fortune familiale n'est plus qu'un souvenir. Elles vivent en total décalage avec la société qui les entoure. Avec ce livre on est entre magie et désenchantement dans une ambiance à la fois magique et poétique. De plus il donne envie d'aller à Cagliari !
« Mal de pierres » BM 2006 en Italien 2007 en français chez Diana Levi. Traduit par Dominique Vitoz.
La Sardaigne aprés le seconde guerre mondiale. Une femme de 30 qui ne se presse pas de se marier. Sa petite fille à laquelle elle fait des confidences mais ne raconte pas tout. La traductrice a qualifié ce livre de miniature précieuse.
« Mon voisin » BM 2008 en Italie 2008 en France chez Liana Levi traduit par Françoise Brun
un tout petit livre. L'histoire d'une femme mère d'un gamin de 2 ans, qui rêve de se suicider parfaitement cad en laissant croire à un accident et qui rencontre un voisin qui lui est hypocondriaque et a peur de la mort. Un roman qui ne laissera sans doute pas de grandes traces dans la littérature mais fait entrer du soleil sarde lors de sa lecture !
On évoque aussi « Guardati dalla mia fame » écrit en 2014 par Milena Agus et Lucilla Castellina édité en français sous le titre « Prends garde » édité en 2015 chez Liana Levi. Cette fois l'histoire se passe dans les Pouilles au printemps 1946 à partir d'une histoire vraie. La confrontation d'une famille de hobereaux qui continuent à tenir leur rang et d'ouvriers agricoles affamés.
Paolo Giordianno jeune auteur turinois né en 1982. Physicien.
Les trois livres nous sont présentés simultanément par une inconditionnelle de cet auteur :
« La solitude des nombres premiers » paru en 2009 BM en italien et en français + DVD du film
« Le corps humain » 2013 BM
« Les humeurs insolubles » 2015
Les trois livres sont parus au Seuil et sont traduits par Nathalie Bauer
Le premier nous parle de la rencontre de deux adolescents peu sociables . Ce livre a été l'objet d'une adaptation cinématographique
Le deuxième se passe en Afghanistan, un groupe de personnes confinées dans un lieu perdu où chacun découvre les tours que son organisme peut lui jouer
Le troisième est un roman familial dont le personnage principal MadameA qui a materné toute la famille va se retirer seule pour affronter la maladie et leur monde semble s'écrouler.
Dans ces trois livres une construction sans faille, un style clair et précis et à chaque fois une ambiance particulière qui rend chaque histoire vraiment attachante.
Silvia Avallone « D'acier » BM paru en 2011 chez Liana Levi traduction Françoise Brun
L'histoire se passe en Toscane, mais pas celle des touristes, à Piombino un port industriel prés de l’aciérie et en face de l'ile d'Elbe. Un lieu dévasté par les barres de béton « avec vue sur la mer », une plage polluée et une vie de misère . Deux fillettes tentent de profiter au maximum de cette période de leur vie et parient sur leur éclatante jeunesse pour avoir raison de leur avenir
Erri de Luca est aussi évoqué plus à partir d'articles de journaux que d'un livre en particulier et en mettant l'accent sur son indéfectible attachement à la lecture quotidienne de la Bible. Il a appris l’hébreu pour pouvoir profiter de la musique des versets.
L'assistance évoque bien sûr le récent procès qui vient de se terminer, du fait de son appel au sabotage du chantier du TAV.
À ce propos on peut lire un autre point de vue à travers les déclarations des ouvriers du chantier
http://www.filcacisl.it/sindacato/wp-content/uploads/2015/04/Lettera-lavoratori-TAV.pdf
http://torino.repubblica.it/cronaca/2015/04/24/news/gli_operai_tav_scrivono_a_erri_de_luca_si_confronti_con_noi_-112707794/
et enfin de Perissinotto « la chanson de Colombano » BM la fosse aux ours 2002 traduit par Patrick Vighetti.
Un roman monté à partir d'une histoire vraie du 16e siècle et qui a laissé trace dans le folklore piémontais par le biais d'une chanson. Nous sommes dans la haute vallée de Susa et on commande à Colombano contre rémunération de creuser un tunnel qui permettra à la commune de Chiomonte d'être irriguée par les eaux du vallon situé de l'autre coté de la montagne. Il fait le travail demandé mais.... un drame survient et il est accusé..
De nos jours il est possible de réaliser une très belle randonnée du coté des Quattro Denti au dessus de Chiomonte et d'admirer le travail fait par Colombano et qui est toujours utilisé.
On évoque aussi les autres livres de Perissinotto, tous excellents « train 8017 » ; « A mon juge » etc..
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"De la littérature, du cinéma"
Échappées livres du 9 décembre 2015- Romans adaptés au cinéma
(pour les romans étrangers la date de parution est celle de la traduction)
D'autres vies que la mienne E.Carrère Ed P.O.L 2009
Le film par PH. Lioret en 2011.
A partir de deux événements tragiques, la mort d'une petite fille suite à un cancer et celle d'une jeune femme mariée et mère de famille de la même maladie, vécues par l'auteur, celui-ci raconte l'histoire de deux juges qui rescapés du cancer travaillent sur le surendettement.Un livre de maladie, de pauvreté et d'amour.
Le roman est adapté librement au cinéma, l'histoire est modifiée, c'est une autre œuvre.
Serena- Ron Rash Ed du masque 2011
Serena le film de Susan Bier 2014
Un roman qui se déroule en Caroline du Nord dans une exploitation forestière. Georges Pemberton veut contrecarrer le projet de parc naturel avec ses projets d'exploitation quitte à soudoyer les fonctionnaires, sa femme sans scrupules est prête à utiliser des moyens plus radicaux d'intimidation ...A cette histoire vient s'ajouter celle plus sombre qui oppose Serena à la jeune femme, mère de l'enfant de Pemberton.
Le film a une portée moins politique, environnementale, il se complaît plutôt dans une ambiance rude où la force et la folie qui peut en découler est la principale valeur.
Homesman - Glendon Swharthout Ed Gallmeister 2014
Homesman le film Tommy Lee Jones 2014
Le roman raconte l'histoire d'une ancienne institutrice solitaire qui accepte de ramener des femmes de colons ayant perdu la raison dans l'est. Elle est accompagnée dans cette aventure par un homme menacé de pendaison.
Le film est interprété par Tommy Lee Jones et Hillary Swank.
Syngué Sabour- pierre de patience Atiq Rahimi Ed P.O.L prix Goncourt 2008
le film a été réalisé par Atiq Rahimi et JC Carriere en 2013
Dans ce roman une femme s'adresse à son mari, gravement blessé qu'elle veille. C'est un monologue dans lequel elle confie à l'homme immobile, comme mort, toutes les souffrances qui ont émaillé sa vie, dont il est en partie responsable...
Le film correspond mot pour mot au livre, dans le livre il y a des indications de type scénario qui laissent à penser que l'auteur avait déjà en tête une adaptation.
Dernière neige, Ed du seuil 2002, Une rivière verte et silencieuse Ed du seuil 2001 Hubert Mingarelli
Ladygrey, le film de Alain Choquart est sorti en 2015
Ces deux romans très courts, très différents dans leur histoire abordent la relation entre père et fils dans une langue économe mais riche en sentiments.
Le film unit la trame des romans pour recréer l'univers de l’écriture dans un contexte différent.
Jonathan Livingstone le goéland Richard Bach Ed Flammarion 1973
Le film de Hall Bartlett est sorti en 1973
Un roman philosophique...
Dialogues avec mon jardinier Henri Cueco Ed Points 2007
Film de Jean Becker2007
Le jardinier et le peintre qui travaillent chacun dans leur lieu,se retrouvent pour échanger sur le beau.
Echanges entre les participants :
Exemple d'un livre pour lequel le visionnement du film a été salutaire : Le nom de la rose de U.Eco1980, Ed Grasset 1982 , film dr JJ.Annaud 1986.
BD adaptées au cinéma :
"Le bleu est une couleur chaude" de E.Bilal est devenu "La vie d'Adèle" de A. Kechiche.
L'auteur de la BD est Julie Maroh
"Lulu, femme nue" de E.Da vodeau est devenue "Lulu ,femme nue" de Solveig Hanspach .
Un dernier livre adapté au cinéma : Beignet de tomates vertes, le roman de Fannie Flagg devenu le film de Jon Avenet.
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Echappées Livres à la Médiathèque le 10 février
Nous n'étions pas très nombreux pour cette 3e édition de l'année : 11 personnes seulement !
À cela deux raisons sans doute :
- un problème de communication : alors que le thème était les polars, la médiathèque a fait ses annonces sur les Nomades en noir, ce qui rétrécissait singulièrement la question
- la séance a eu lieu pendant les vacances scolaires de la zone de Marseille. Du coup entre ceux qui gardaient les enfants ou petits enfants et ceux qui les emmenaient au ski, l'assistance habituelle a bien diminué. Il faut noter que sur quatre « Echappées Livres » de cette année, trois ont été placées par la médiathèque pendant des vacances scolaires.
Ceci étant posé, l'assistance peu nombreuse a permis des échanges plus fournis et l'animatrice de la séance a trouvé très reposant de n'avoir pas à regarder sa montre à tout moment pour demander aux intervenants de faire court..
Giorgio Scerbanenco : « Les milanais tuent le samedi » Payot 2011
Une enquête un peu glauque qui se passe dans le Milan des années 60 et qui nous emmène dans les milieux de petits maquereaux et les riches notables prêts à débourser des sommes astronomiques pour des plaisirs interdits. Un Milan qui vit entre corruption, prostitution et règlements de comptes parfois violents.
Frederic Lenoir & Violette Cabesos « La parole perdue ». Albin Michel 2011
Un thriller historique qui se passe tour à tour à Pompéi du temps de Vespasien, à Vezelay à la période médiévale et sur les champs de fouilles de ces deux lieux aujourd'hui. Un roman plus intéressant par son regard sur l'art et sur l'histoire de deux lieux célèbres que par l'intrigue à proprement parler.
Anonyme « Le livre sans nom » Sonatine 2010
Mr Anonymous (le livre a été d'abord publié en anglais) est célèbre entre autre, parce qu'on n'en connait pas l'auteur. Il aurait été refusé par plusieurs éditeurs et du coup l'auteur en a publié une, le premier tome, sur internet et ensuite la rumeur a déclenché le succès. C'est un livre déjanté où des personnages connus croisent des vampires par exemple et qui ne répond à aucun genre, mais il a été traduit en beaucoup de langues et n'en finit pas d'avoir des suites.
Erich Kastner « Emile et les détectives ».
Ce livre publié en 1929 et qui a fait les délices de plusieurs générations nous est présenté dans une édition ancienne qui a gardé tout son charme. Le livre qui est sans doute un des premiers polars pour la jeunesse a été vendu à 2 millions d'exemplaires en Allemagne et traduit en 59 langues.
Philippe Carrese « Les veuves gigognes » Ed de l'Aube 2014
Ce n'est pas un livre inoubliable mais on passe un bon moment et, ce qui est rare dans le genre polar, on rit. Tout se passe entre Marseille et Nice mais sans hémoglobine.
Santiago Gamboa « Les captifs du Lys blanc » Metailié 20017
L'auteur colombien connu par son premier livre au titre prometteur « Perdre son temps est une question de méthode » nous emmène cette fois à Pékin autour d'une histoire assez déjantée mais qui met en scène plusieurs personnages fort bien brossés dont un journaliste colombien qui travaille à RFI à Paris et qui ressemble beaucoup à l’auteur. On y apprend plein de choses sur l'urbanisme chinois et la guerre des Boxers.
Jorge Zepeda Patterson « Les corrupteurs » Actes sud 2015
Celui ci fait partie de la sélection Nomades en noir et fait l'unanimité des personnes présentes, tant pour la qualité de son écriture que pour ses personnages et la présentation claire mais sans complaisance de la situation politique au Mexique. Un cocktail de violences et de relations chaleureuses très réussi. L'auteur est un journaliste bardé de diplômes en sciences économiques et sociales et en sciences politiques et il sait très bien faire passer ses connaissances à travers une histoire qui tient en haleine.
Grace à ce livre nous avons eu un beau débat sur les transitions politiques et la durabilité d'amitiés malgré des choix de vie différents voire opposés.
Moussa Konaté « Meurtre à Tombouctou » Metailié 2014.
Encore un Nomade en noir, ce roman posthume de l'écrivain malien qui a déjà fait découvrir plusieurs peuples de son pays à travers les enquêtes de l'inspecteur Habib. Par contre ce livre n'a pas fait l'unanimité surtout du fait de son style.
Et puis nous partons sur plein d'autres lectures de polars dont des Nomades en noir.
Il y a ceux et celles qui aiment l'angoisse étouffante de « la fille du train » et d'autres qui ne la supportent pas, tout le monde apprécie l'islandais au nom imprononçable et ses « Etranges rivages ». Petit à petit on en arrive à préciser ce que pourrait être le polar idéal , une phrase m'en est resté « ce que j'aime c'est un meurtre dans un conte de fées », mais je ne vais pas tout vous raconter, vous n'auriez plus de raison de venir aux rencontres de lecteurs !
COMPTE-RENDU ECHAPEES LIVRES du 13/04/2016
La période des vacances scolaires avait éloigné nos lecteurs et lectrices habituels, nous ne fûmes que 5 en arrivant au port, rejointes par une sixième personne qui avait vu de la lumière allumée dans la petite salle de la Médiathèque.
En l’absence de thème, les ouvrages commentés étaient divers :
- « Miniaturiste » de Jessie Burton qui nous a fait découvrir la très célèbre maison de poupée du Musée Rigks à Amsterdam autour de laquelle tourne cette histoire. Pétronella, femme d’un riche marchand, va découvrir des secrets de famille. Ce livre bien documenté nous parle de la morale calviniste du 17ème siècle qui confinait les femmes à la procréation et les sodomites à être jetés à la mer.
- « Confitéor » de Jaume Cabré, disponible à la bibliothèque, est une saga familiale et historique en Catalogne. Le narrateur écrit une longue lettre à sa bien-aimée avant que sa mémoire ne soit engloutie par Alzheimer. Le 2ème personnage du livre est un violon, témoin d’évènements tragiques : l’Inquisition, la Shoah, le Franquisme. L’auteur part dans un rythme musical à la recherche du mal, source de la culpabilité du narrateur.
- « Les Echoués » de Pascal Manoukian conte les mésaventures de 3 réfugiés : un Moldave, un Bangladais et un Somalien qui se retrouvent en Ile de France en 1992 comme des pionniers d’une épopée migratoire qui va s’amplifier. Un témoignage journalistique qui aborde tous les thèmes liées au déracinement : géopolitique, exploitation, religions, clandestinité mais aussi un véritable roman qui fait la part belle aux sentiments de ces personnages attachants.
4 nouveautés sont signalées à la Médiathèque :
- « Un instant de grâce » de Clémence Boulouque, à la rencontre d’Audrey Hepburn.
- « Les enfants qui mentent n’iront pas au paradis » de Nicolas Rey, la difficile rencontre entre un « bobo » de gauche et une institutrice extrémiste de droite.
- « On reconnaît le bonheur au bruit qu’il fait en s’en allant » de Marie Griessinger, livre la sensibilité d’un homme face aux souvenirs de la vie de son père, gravement diminué par la maladie.
- « Des femmes qui dansent sur les bombes » de Céline Lapertot où comment une armée de femmes courageuses luttent pour faire revenir la paix dans un pays africains en guerre.